Je viens te mater sous la douche

Je viens te mater sous la douche
Mon approche était silencieuse
Tu sursautes lorsque je te touche
Glissant sur ta peau savonneuse
En réponse à ta moue curieuse
Je mets mon doigt sur la bouche

Ce n’est pas le dos que je te frotte
Le mieux ni le plus longtemps
Je te lave et je te pelote
Les fesses et les seins fermement
Sans honte et je prends mon temps
Et puis je te sors de la flotte

Et je n’attends pas que tu sèches
Pour embrasser ton cou
Jouer un peu avec tes mèches
Et me baisser tout d’un coup
Pour me mettre à genoux
Face à tes fesses que je lèche

Et pendant que ma langue se délecte
De la peau de ton cul délicieux
Je vais fouiller dans ma braguette
Dont j’extrais péniblement ma queue
Une fois sortie je la branle un petit peu
Le gland sur tes mollets que je fouette

D’une légère pression sur tes cuisses
Je t’invite à tourner sur toi-même
Pour qu’entre tes jambes ma tête se glisse
Embrasse ta peau douce et blême
Commence à te chuchoter un poème
Mêlé de langueur et de vice

Du bout des doigts je te chatouille
Vraiment très près de ton intimité
Mais c’est ma langue qui vient et fouille
A la racine de ton buisson sacré
Se coule tout au fond de la vallée
Et s’agite jusqu’à ce que tu mouille

Tu commences à te laisser aller
Innocemment tu écartes les genoux
Je profite que tu sois enivrée
J’attrape un gode dont je promène le bout
Sur ta peau et je me mets debout
Au tour de tes tétons d’être sucés

Une bouche se régale de tes seins
Une main sur ta nuque, caresser
Une autre tient le jouet qui revient
Se coller à ton sexe délaissé
Bourdonne et se met à vibrer
Et s’enfonce un peu plus loin

Voilà que tu pars et je te retiens
Et je te baise plus profondément
Dans ton sexe ma bite de martien
Sur ta peau celui de ton amant
Qui se tend maintenant impatiemment
Et que tu prends enfin par la main

Tu te retournes pour une levrette
J’effleure un peu ton dos bien cambré
Mais face à tes fesses offertes
Je suis repris d’une envie de te lécher
En même temps qu’une branlette effrénée
Et c’est sur ton cul que je fais la fête